Musique

La raison du Minotaure

La raison du Minotaure 1280 812 La Ville, au loin

***En résidence de création du lundi 3 février au vendredi 7 février 2025, Le Petit Daviers – Cie LOBA à Angers (49)

Spectacle de conte musical – De et par Olivier Lerat (conteur / multi instrumentiste)

La raison du Minotaure aborde dans son arc narratif des thèmes qui peuvent questionner le public adolescent. Droit à la différence et l’inclusivité, notion de harcèlement, image et construction masculine .. etc…

Nous serons dans le cadre d’une première tentative pour restituer au mieux la proposition qui est en construction. Le retour d’un tel public me paraît essentiel pour sentir si cette matière mythologique qui devient ici symbole et allégorie peut les toucher et favoriser le débat sur ces questions. .

Texte de présentation:

Quand on nait moitié taureau , moitié humain … ça fait tâche sur la photo de famille. 

Faut il en perdre la tête ? ou suivre coûte que coûte cette histoire dans son labyrinthe ?

La raison du Minotaure est un seul en scène musical et rythmé qui visite tour à tour, le dedans et le dehors du mythe et de ses traces.

Si on se perd faut suivre le fil , faut suivre le fil …

Extrait :  

Tout commence par mon slam :

« MAIS DE QUEL BOIS JE SUIS FAIT ?

JE POUSSE COMME TOUS LES FILS

J’IMPLORE LES FORÊTS POUR QUE MON ETRE S’ACCOMPLISSE

MAIS DE QUEL BOIS JE SUIS FAIT ?

JE POUSSE UN PEU FRAGILE

J’IMPLORE LES NUÉES

POUR QUE MON RÊVE SOIT MON EXIL »

Mythe du Minotaure

L’histoire se passe Crète, une ile au large de la Grèce. 

Poséidon, le dieu de la mer a été contrarié par le roi Minos, souverain de cette île.

Pour se venger du roi Minos, Poseidon va jeter un sort à la femme de Minos, Pasiphaé pour qu’elle tombe amoureuse d’un Taureau. De cette relation contre nature va naitre un enfant, le Minotaure, étrange créature qui a une tête de taureau et un corps d’homme.

Minos est déshonoré et pour cacher le Minotaure, il fait construire un labyrinthe ou sera enfermé ce fils maudit.

Pour le nourrir, Minos fera régulièrement venir d’Athènes, cité avec laquelle il est en guerre, un groupe des jeunes gens (7 jeunes filles et 7 garçons) qui sera sacrifié au monstre. 

C’est Thésée, un Héros Athéniens qui va vouloir mettre fin à cette malédiction. 

Il promettra à Egée son père, le roi d’Athènes de tuer le Minotaure. 

C’est à son arrivée sur l’ile de Crète avec le groupe de jeunes gens qu’ il rencontra la princesse Ariane, la fille de Minos. 

Ariane tombe amoureuse de lui et lui propose de l’aide dans cette entreprise dangereuse. 

Elle lui donnera une pelote de fil qu’il pourra accrocher et dérouler pour pouvoir retrouver le chemin du retour après son entrée dans le labyrinthe . 

Grace à ce fil, Thésée pourra aller au coeur du labyrinthe pour affronter et peut être tuer le Minotaure. 

« Les notions de différence et de quête d’identité étaient déjà apparus dans mes premières tentatives d’écriture solo. Dans le premier spectacle seul en scène que j’ai créé en 2009 « Un Type Tape », j’abordais déjà ces sujets, à travers le parcours d’un enfant autiste qui découvre la musique et le son pour communiquer avec les autres. Comment acceptons nous nos faiblesses, nos différences nos spécificités ? Comment arrivons nous à nous construire avec et contre l’autre ?A l’aune d’une société où l’importance de l’image et du groupe est considérable et vient altérer notre rapport à la réalité, il me semble que parler de cette figure du Minotaure peut raisonner pour différents publics. Je suis père de pré-ado (Fille de 12 ans et Garçon de 14 ans), et la période de l’adolescence évoque pour moi l’émergence des premières révoltes, de la construction identitaire et le rapport difficile à sa propre image. J’ai senti l’intérêt de rapprocher mon parcours de père et d’ancien adolescent à cette figure allégorique du Minotaure. Fort de mon expérience du labo et de l’envol, j’aimerai continuer mon travail d’écriture au plateau en confrontant plusieurs points de vue : le récit du Minotaure, la figure du héros (avec Thésée) et mon propre parcours d’adolescent.

Dans mon processus d’écriture, je m’efforcerai de mettre en lumière les antinomies qui jalonnent ce mythe pour alimenter la conception dramaturgique de mon récit : Entre besoin de liberté et besoin de reconnaissance. Entre questionnement intérieur (figure du labyrinthe) et pulsions primaire. Entre inné et acquis. Pour converger vers une question plus générale: Comment révéler et accepter notre vrai nature ? Il me semble important de pouvoir adresser ce type de proposition aux ados et prés ados (à partir du CM1) et de les interroger sur leurs droit à la différence. Utiliser le conte comme un ode à la créativité et l’émancipation. »

LA PLACE DE LA MUSIQUE :

« J’aimerai prendre un temps d’exploration de la musique sur plusieurs axes. J‘utiliserai sans doute des instruments sur certains passages du récit comme une seconde voix, un partenaire de jeu, une matière galvanisante pour travailler l’énergie. Un moyen de nommer l’indicible ou d’ouvrir de nouveaux espaces de liberté. J’aimerai pour cela m’ immerger dans deux types de musique : -la musique de transe (Gnawa, soufi) où le son et la répétition invite à se transcender. Et – le courant free Jazz (Ornette Coleman, Sunny Murray), musique de contestation pour jouer sur les différentes nuances de la révolte. Le son pourra aussi apparaître comme sous forme de matière sonore et sound design à certains moments, évoquant le monde utérin. Comme un passage vers la psyché, le sensoriel et l’inconscient. Pour cela j’aimerai éprouver un système d’amplification et de filtres assez simples , pour re-créer ces sons et perceptions de la période pré-natales. Est ce que le Minotaure entendait le son des batailles , de la colère de son père ou la voix caressante de sa mère ? Au niveau musical, plusieurs pistes de travail seront à éprouver : -L ‘utilisation d’un seul instrument : la batterie, pour son rapport à l énergie et ses possibilités scénographiques (elle peut se fragmenter, se démonter et créer des espaces changeant). A voir la pertinence d’une forme circulaire ou frontale. -Utiliser différentes couleurs instrumentales : looper, kalimba, accordéon, clarinette. Les choix sont encore à définir.

Formation – Auxiliaires puéricultrices

Formation – Auxiliaires puéricultrices 1000 1000 La Ville, au loin

*** Du 23 janvier au 31 janvier 2025 de 10H à 12H et de 14 à 16H à la crèche les « Lucioles » et à la crèche « La Sources » à Montfermeil (93)

Dans le cadre de la résidence-mission pluriannuelle « Art, culture, petite enfance et parentalité » dans les 4 crèches (Les lucioles, La Sources, La vie en herbe et le multi-accueil Les Frimousses) et la PMI de la ville de Montfermeil, des ateliers de formation sont mis en place en direction des auxiliaires puéricultrices :

  • Jeudi 23 janvier de 10h00 à 12h00  : « Autour du rythme et de la voix » avec Olivier Lerat
  •  Lundi 27 janvier de 10h00 à 12h00 et de 14h00 à 16h00 : « Comment raconter des histoires avec des objets du quotidien » avec Xavière Le Coq et Irène Seye
  • Vendredi 31 janvier de 14h00 à 16h00 : « Mettre en geste une comptine » avec Aurélia Labayle

Cette résidence mission est le fruit d’un financement de la ville de Montfermeil, du département de la Seine Saint Denis et de la DRAC Ile de France.

Contes à portées

Contes à portées 480 578 La Ville, au loin

*** Samedi 16 novembre 2024 à 10h30 à la médiathèque François-Rabelais, 177 avenue Gabriel Péri à Gennevilliers (92)

Dans l’espace musique de la discothèque / Public familial 3-6 ans

*** Olivier Lerat, conteur et multi instrumentiste

Ces contes à « portée » n’ont pas toujours le sens de la mesure mais n’ont qu’une envie : raconter de belles histoires en musique. 

Un moment pour rêver et chanter ensemble. 

Un pingouin en hiver

Un pingouin en hiver 640 467 La Ville, au loin

*** Samedi 12 octobre 2024 à 10H et à 11H à la bibliothèque Denis Diderot, 23 rue Roger Salengro 93140 BONDY (93)

Avec : Olivier LERAT

Un spectacle de conte pour le très jeune public / durée 35 mn

Je plante le décors :

Du blanc à perte de vue,le vent qui fait chanter les flocons.

Une histoire qui se dessine sur la neige.

Celle d’un petit pingouin qui ne semble pas tout à fait à sa place ….

Bibliothèque éphémère – Faire parler les mots

Bibliothèque éphémère – Faire parler les mots 2560 1920 La Ville, au loin

*** Samedi 28 septembre 2024 de 14H à 18H au centre socioculturel l’Agora, 30 rue Courtais à Montfermeil (93)

*** Mercredi 06 novembre 2024 de 14H à 18H au centre socioculturel l’Agora, 30 rue Courtais à Montfermeil (93)

Aurélie Vilette, Olivier Lerat, Irène Seye et Xavière Le Coq (comédienne, musicien et conteur du collectif « La ville, au loin ») vous proposeront des lectures partagées autour de la littérature jeunesse, du conte et des écritures contemporaines dont le but est de transmettre le goût des mots et du livre.

Cette programmation est dans le cadre d’un contrat de ville avec la ville de Montfermeil dont le projet se nomme « Culture et parentalité »

Les mains dans la rosée

Les mains dans la rosée 1805 1025 La Ville, au loin

*** Mardi 08 octobre 2024 à 14H30 au Cercle Boissière, 317 boulevard de la Boissière – 93110 à Rosny Sous Bois (93)

*** Mercredi 06 novembre 2024 à 10H au centre socioculturel l’Agora, 30 rue Courtais à Montfermeil (93)

*** Avec Irène Seye, Xavière Le Coq et Illich L’Hénoret ou Olivier Lerat (Cie du brin d’herbe)

SPECTACLE MUSICAL – FANTAISIE BUCOLIQUE ET POTAGÈRE / Durée : 45mn / De 3 à 333 ans

Oyez ! Oyez !
Mesdames et Messieurs, le Roi a perdu le goût ! Il va falloir faire appel à Légumine, la Reine des légumes et Fructine, la Reine des fruits, pour préparer un somptueux repas.
Avant toute chose, elles vont devoir semer, arroser et attendre la bonne saison pour cueillir les fruits et les légumes les plus beaux…
Puis elles vont préparer un festin ! Olives en tapenade, compote aux grenades, céleri en velouté, ananas meringué…
Avec ce délicieux repas, Légumine et Fructine sauront-elles redonner le goût au Roi ?

Ça va se dire !

Ça va se dire ! 1000 1000 La Ville, au loin

Atelier Slam autour de la poésie musicale engagée

*** Du 10 au 14 mars 2025 – Collège Camille Claudel – Villepinte (93)

*** Avec Olivier Lerat

ÇA VA SE DIRE ! est une rencontre autour de la poésie engagée, celle d’hier et d’aujourd’hui. 

À travers les écrits passés de la résistance et des formes poétiques plus contemporaine (Slam, Spoken word), nous voulons inviter les collégiens à s’exprimer sur leurs luttes actuelles et les combats qui les traversent.

Se nourrir de la parole passée,  

Faire émerger, en résonance, la parole intime, en découvrir l’immédiateté, se mettre en chemin sur nos voix pour écrire et se décrire ….

La musique sera pour nous un appui important pour libérer une parole organique, jaillissante. 

Accompagnés parfois en Live par l’intervenant et ses instruments, les textes de chacun pourront, s’ils le souhaitent prendre d’autres chemins d’expression que la voix nue.

Ce parcours s’articulera autour de trois grands axes d’exploration : Le mot, le rythme et le corps. 

Pour répondre au mieux à l’organisation de l’équipe enseignante, le projet peut se dérouler sous la forme de séances hebdomadaires de 2 heures ou, sous forme de stage, sur un temps fort d’une semaine environ. Il est aussi envisageable de mêler les deux formules : une série d’ateliers hebdomadaires suivis d’un temps fort d’une ou deux journées. 

Les séances sont toujours conçues en lien avec la programmation des professeur.e.s qui accompagnent le projet. 

Les séances permettront d’expérimenter différentes pratiques artistiques au service de cette parole slamée : 

– Mise en espace et lecture à voix haute

– Rythme et musicalité

– Écriture à consignes et composition improvisée

MISE EN ESPACE ET LECTURE À VOIX HAUTE

Nous prendrons un temps pour la lecture à voix haute de textes simples sélectionnés en fonction du groupe d’élèves et de la classe : travail sur l’oralité, la sonorité des mots et leur musicalité. 

Pour cela nous nous appuierons sur des exercices d’échauffement, d’expression, d’engagement de la voix, mais aussi sur l’engagement du corps, du geste et du rythme intérieur. 

Cette pratique de mise en voix s’exercera également avec leur production issus des ateliers d’écriture ou avec la parole improvisée. Nous utiliserons des techniques de parole collage, seul ou à deux. Pour cela nous partons de thèmes ou d’images (peintures, photos d’artistes ou images de presse), sources d’inspiration qui amèneront les élèves à raconter, histoires et anecdotes mais surtout ouvriront l’imaginaire. 

Les mots, seront abordés comme matière sonore et sensorielle au service de l’idée et de la construction d’images poétiques.

Nous prendrons, un temps pour le travail dans l’espace, et le travail de chœur pour sentir la force du mouvement, des présences, face à un public. L’enjeu est de garder l’attention du public, utiliser la répétition scandée ou murmurer à plusieurs pour être porté par la confiance du groupe. 

LA MUSIQUE – LE RYTHME

Nous aborderons le rythme à travers les percussions corporelles. 

La pulsation, le temps, le silence qui sont des outils sous-jacents à toute adresse et forme poétique. Ils seront nos partenaires d’écriture pour sculpter la parole. Nous passerons par le corps pour mieux comprendre les notions inhérentes à l’écriture du slam : répétition, rupture, tension et résolution. Quelques corpo-rythmes seront partagés pour accompagner et mettre en lumière la parole.  À l’instar du Gumboots sud-africain ou du Haka Maorie, la percussion corporelle peut porter la révolte et la contestation.

ÉCRITURE  

Nous parcourons de manière conjointe certains textes de la poésie engagée du XXème siècle ainsi que des textes plus contemporains pour mettre en lumière des techniques d’écriture et d’expressions poétique ; allitération, assonances, rimes intérieures, autant de pistes à explorer pour s’essayer à l’écriture de manière ludique. Nous utiliserons des jeux et des contraintes d’écriture pour faire émerger une parole aiguisée et poétique. Cet atelier s’adresse à tous les élèves de collège, quel que soit leur niveau de scolarité.

Un temps d’écriture à la table guidé par l’intervenant sera proposé.  

Les textes produits seront partagés, et certains enregistrés. 

HÉRITAGE et RÉSONANCE

Explorer la parole poétique engagée comme un héritage commun toujours en mouvement amènera les élèves à identifier des sujets émancipateurs pour eux-mêmes.  

Nous ouvrirons également ce thème à celui de la mémoire de nos aïeux. 

Qu’en est-il des combats de nos parents ? 

Nous proposerons aux élèves de questionner (et d’enregistrer sous formes de portrait chinois par exemple) les témoignages de leurs parents ou famille sur les notions de révolte et résistance et ainsi créer des résonances pour nourrir nos productions.

L’année 2025 marquera les 80 ans de la fin de la Seconde Guerre Mondiale permettant de mettre un terme à l’occupation et à la barbarie nazie. 

L’année 2025 est ainsi l’occasion de revenir sur l’engagement de nos ainé́·e·s en faveur des libertés et de l’égalité́ des droits pour toutes et tous, et de donner à voir la façon dont ces luttes et ces principes s’incarnent et se perpétuent dans nos sociétés contemporaines. 

RÉFERENCES

Nous proposerons des auteurs issus de la période de la résistance de la 2nde guerre mondiale qui se sont battus en mots et écriture, tel que les poètes qui ont participé à « l’Honneur de poètes » publié en 1943 avec entre autres Paul Éluard, René Char, Robert Desnos… Poètes souvent issus du surréalisme qui ont donné à la langue poétique une grande liberté. Nous irons également découvrir des Slameurs contemporains comme Frédérique Nevchéhirlian ou Gaël Faye qui travaillent la langue contemporaine et propose dans la parole slamé l’énergie de la poésie et les sujets d’engagements d’aujourd’hui.

Ça va se dire est financé par le Département de la Seine-Saint-Denis dans le cadre de son dispositif Micaco – « La Culture et l’Art au Collège » pour l’année scolaire

Écouter, regarder, découvrir – Les mots à la bouche

Écouter, regarder, découvrir – Les mots à la bouche 1000 716 La Ville, au loin

*** 9 dates au Cercle Boissière, 333, bd de la Boissière, 93110 Rosny Sous Bois (93)

  • Lundi 09 septembre 2024 de 9H à 12H
  • Samedi 21 septembre 2024 de 9H à 12H
  • Lundi 7 octobre 2024 de 9H à 12H 
  • Jeudi 24 octobre 2024 de 19H à 21H
  • Lundi 4 novembre 2024 de 9H à 12H
  • Samedi 23 novembre 2024 de 9H à 12H 
  • Lundi 9 décembre 2024 de 9H à 12H 
  • Jeudi 26 décembre 2024 de 19H à 21H
  • Samedi 11 janvier 2025 de 9H à 12H 

Un projet d’accompagnement parents/enfants autour de la lecture et du livre en direction des familles (au sens large) du quartier La Boissière et soutenue par la CAF dans le cadre du REAAP 2024

Il s’agira ici de proposer une programmation d’intervention à destination du très jeune public et des ateliers de conte et de lecture à haute voix pour former les parents sous la forme d’une bibliothèque éphémère.

La programmation comprendra des interventions musicales, représentation de spectacle, des ateliers de lecture à haute voix ainsi que des ateliers « Racont’histoires » pour les parents. Ici, nous accompagnerons les parents à la prise de parole contée, en complément à la prise de parole lue.

Contes et musique pour les touts petits

Contes et musique pour les touts petits 2048 1365 La Ville, au loin

*** Mardi 23 juillet 2024 à 10h au Centre socioculturel AGORA Terre des hommes, 30 rue de Courtais, 93370 Montfermeil (93)

*** De et par : Bakary Traoré, conteur et Jérome Jouannic, musicien / Durée : 35 min / Un spectacle de conte musical pour les tout-petits, à partir de 18 mois

Bakary Traoré grandit et se forme à l’art du conte à Bobo-Dioulasso, au Burkina-Faso, où il se produit aussi bien au centre Djeliya, à l’Institut Français qu’au sein du Festival Yeleen. Le conte, qu’il découvre enfant à la radio locale, l’emmènera en France. Aujourd’hui installé à Pontoise, en région parisienne, Bakary Traoré partage sa parole dans tout le pays, à travers des spectacles en solo, des collaborations ou des ateliers.

Auprès de mon arbre

Auprès de mon arbre 640 480 La Ville, au loin

*** Jeudi 11 juillet 2024 à 15h à l’EHPAD « La Maison du Soleil » (via la Médiathèque HENRI MICHAUX, 93300 Aubervilliers (93)

*** Vendredi 19 juillet 2024 à 15h à la Médiathèque PAUL ELUARD, 30 Rue Gaëtan Lamy, 93300 Aubervilliers (93)

*** Olivier Lerat, conteur et multi instrumentiste

TRANCHE D’ÂGE DU PUBLIC : Ados-adultes

Contes et Musique dans le cadre de la 32ème édition du Festival Histoires Communes (les médiathèques de Plaine Commune)

A la source des histoires, il y a souvent un rêve qui pousse. 

Comme un arbre près à partager ses plus beaux fruits, ses plus beaux récits. 

Nous nous retrouverons pour découvrir ce jardin délicieux. 

Des contes, des chansons et du vert à perte de vue…

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